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lundi 21 mai 2007

marie-aude

Portait robot


-Il est enjoué au début, il recontre ses camarades, il se fait connaître...
-puis découvre les premières failles psycho-terrinaires à Lathus,
-Finalement, est content de ce qu'il apprend, mais ne comprends pas toujours à quoi ça sert...
-commence à trouver que cette formation n'est pas faite pour lui, doute, angoisse, restera, restera pas?
-un gigantesque trou carroté l'envahit au coeur de l'hiver
-puis c'est le printemps, il redevient content d'être un 2itéen, il apprend de nouvelles choses et techniques, il rencontre des personnages emminents de la société de l'information, il sympathise même avec ses anciens ennemis! Bref, le bonheur!
-ce bonheur se trouve parfois teinté de gris comme lorsqu'il se trouve face au néant bisounourstique privé de toutes émotions mais il s'accroche, il pense que ça ira mieux...
-puis revient la tourmente : des hurlements en langue inconnue qui lui crient que "C'EST POURTANT SIMPLE!", de heures d'enseignement et de sagesse suprimées, des maîtres à penser qui ne s'occupent plus que de passer.
Quel est son devenir ? Que va-t-il faire pour surmonter ces terribles épreuves ?

A vous d'écrire la suite de ce pollar palpitant....

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17 réactions:

sam a dit…

Chapitre Premier
Enjoué au début...

Nous somme le 15 octobre, l'été cette année là s'était achevé sur une note estivale toute somme agréable mais ce n'était rien comparé à la chaleur de la salle C214.
Ses premiers pas étaient hésitant et ne sachant pas ou aller il se décida à s'asseoir au milieu de tous ces étrangers. Une goutte de sueur perla sur son front, non pas à cause de la chaleur ma à cause du moment...
"Bonjour, je suis Marie-Hélène Lay et je suis la directrice du Master 2it."
Il connaissait enfin une personne, il avait tant attendu ce moment et il savait qu'à cet instant, il pourrait compter sur une personne.

Alors, à la fin de cette première, il décida de rentrer chez lui tout seul car la vue de tout ces inconnus avait été dure après ces lmongs moi d'été passés entourés de têtes familières. Mais malgré cela, son impression n'avait pas été mauvaise et il s'empressait de revenir le lendemain... mais il ne pouvait l'exprimer aussi librement.

Deux semaines restaient avant la pseudo-intégration des membres du groupe dans un village dont le nom lui était totalement étranger. Curiosité ou empressement, en tout cas, son excitation se faisait ressentir au fur et à mesure que l'on s'approchait de la date fixée par MHL et qu'il commençait à connaître ses camarades.
Il était content, bercé par les derniers rayons post-estivaux, il avait confiance en l'avenir... il avait peut-être tort !

...to be continued

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guillaume a dit…

Chapitre deuxième.
C'est en tout cas ce premier week-end en compagnie de ses camarades d'infortune qui allait lui donner la tonalité de cette année en Master 2it.
Son voyage en voiture s'était bien déroulé jusqu'à l'arrivée au sus-non-nommé village: Lathus. Les autochtones étaient bourrus et leur système de mesure radicalement différent du système français. C'est en effet lorsqu'il avait demandé son chemin et qu'on lui avait affirmé:"oh bah encore 3-400 mètres et vous y ètes!" qu'il avait repris la route tout en confiance. Malheureusement étranger à ce pays, il avait dû faire 3-4 kilomètres avant d'arriver au bon endroit. Toutefois, ce village a permis de confronter les opinions des linguistes en herbe qu'ils étaient quant à la prononciation de ce nom propre.
Ce week-end s'annonçait agréable puisque du sport était prévu et le reste du temps devait être consacré à de petites activités qui lui permettraient de connaître ses éventuels amis. Mais quelle déception en voyant que de nombreuses réunions étaient prévues lors desquelles d'anciens étudiants racontaient leurs galères post-DESS dans la recherche d'un emploi. De plus, il n'entendait que des expériences d'archives ou de bibliothèques. C'est là qu'il avait prit conscience d'une chose: La formation n'est pas exactement ce qui est marqué dans la plaquette du Master!! Cruelle désillusion.
Après des repas où il n'avait pas vraiment osé se mélanger à ceux qu'il ne connaissait pas; et après les réunions pour les quelles il n'avait pas toujours d'attirance, il pouvait enfin faire du sport et penser à autre chose qu'à sa formation. Escalade et tir à l'arc avaient mis fin à son week-end et de nouveau les cours en salle C214 pouvaient reprendre.
Comment allait-il aborder ce semestre? Semestre où premières et deuxièmes années allaient se trouver mélangés. Semestre où il subirait peut-être moqueries et railleries des plus vieux (une trentaine d'années pour certains...).
La suite au prochain chapitre...

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Marie-Aude a dit…

En cette mi-octobre de l'an 2006, le jeune 2itéen pète la forme. Il découvre de mieux en mieux ses camarades, il est persuadé qu'il a trouvé là de fidèles camarades à qui il pourra faire confiance et sur qui il pourrait compter en cas de coup dur. Sa terre natale et sa promise lui manquent un peu mais il se dit qu'il va pouvoir surmonter tout ça avec ses nouveaux supers amis.
Et puis, depuis cet étrange week-end à L., il se disait que finalement, même si les cours étaient eux aussi étranges (avec comme acteur principal une espèce de bisounours au poil dru et à l'air pas très content d'être là ou d'être tout court)l'ambiance entre collègues serait toujours au beau fixe.
Que Nini! Les choses allaient bientôt prendre un tournant dont lui-même n'avait jamais soupçonné l'existence. En effet, lors d'une discussion somme toute assez symptahique, il déclara (on ne sait trop pourquoi et il faudra un jour le découvrir) qu'il aimait et défendait les ...... ragondins!!!!!
Mon Dieu, la chose était dite, le ciel allait bientôt lui tomber sur la tête!
waiting for the next episode...

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guillaume a dit…

Et oui! Fidèle... Qu'est-ce que cela veut vraiment dire? Est-ce un concept subjectif? Une chose était sûre, il n'allait pas trouver de soutien pour la défense des myocastors. Encore que... d'autres aussi aimaient bien ses bêtes préférées mais (à son grand damne) pas de la même façon.
Et puis quelle incompatibilité: guitare, ragondins et 2it! Forcément quelque chose clochait en lui. Suivirent alors de longues semaines de doutes, de remises en question qui n'ont pu l'amener qu'à trois questions. Trois petites questions mais Ô combien importantes:
Qui suis-je?
Où suis-je?
Que fais-je?
Devant l'impossibilité pour lui de répondre à ses questions, il se dit qu'il n'allait pas en tenir compte et qu'il allait essayer tant bien que mal de se fondre dans la masse et d'avoir des copains. Ah ... des copains.. Quelle utopie! Depuis toutes ces années il touchait du bout du doigt ce dont il révait tant!
...à suivre...

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Foldelol a dit…

Chapitre cinquième

Notre fidèle compagnon, un jour de novembre comme un autre sur Terre, Campus de Poitiers, faculté de Lettres, Salle C214, assis devant un écran d'ordinateur songe...
...il se demande en lui-même quel est le concepteur de l'agencement de ce lieu voué à devenir son lieu de travail privilégié!.
Auparavant il a pu observer que ce lieu fut occupé par d'autres et que des traces subsistes et mêmes des indices insolites...!

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Gwennole a dit…

Alors là je dis bravo!!, ça a l'air de bosser dur dans vos stages ;). Moi je vais travailler car je suis courageux et volontaire au travail, pas comme vous, ouh!!!
Vous faites honte au 2it!!
A+ mécréants!

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Marie-Aude a dit…

Quand la réalité rejoint la fiction... On dirait que notre personnage vient de faire son apparition dans cette saga breizho-ragondinistique. Nous ne savons trop pourquoi elle a pris ce tour, mais les choses s'arrangent parfois d'une telle manière dans la vie que l'on ne peut que suivre ce long fleuve tranquille et se laisser porter par les mots, l'inspiration, le flow quoi!
Allons, reprenons:
Il se mit en quête de ces indices qui lui prouvaient que le lieu nom de code C214 avait déjà abrité des êtres humains (presque comme lui mais avec des poils sur le dessus du crâne, il les enviait toujours ceux-là..).
Quelques jours après le début de son enquête, il réalisa, en consultant des fichiers top secret fournis grâce à la femme aux cheveux d'or, celle qui serait sa compagne d'(in)fortune dans cette quête de sens, qu'il avait déjà rencontré ceux qui l'avaient précédé, il ne s'en était même pas apperçu! Et ce fut donc le premier rendez-vous manqué de notre héros qui, on le verra par la suite, multipliera les épisodes alzeimherisants dans sa courte vie 2itéenne...

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ogelam a dit…

chapitre sixième

quelques semaines après la rentrée, ce jeune homme alla quérir une information auprès de celle qui ne cessa alors de hanter ses pensées. il resta près de cette jolie secrétaire des dizaines et des dizaines de minutes, riant et lui lançant des yeux de faon, attendant un signe, qu'il recevait, mais sans savoir comment l'interpréter. en effet un jour que cette dame entra dans la salle, il se fit doubler par son camarade trentenaire et en fut fort vexé, il en pleura des nuits et des nuits en secret dans sa chambre. mais à force d'y penser, il trouva un moyen de la rencontrer sans attirer l'attention des gens. il sortait pour se rendre dans un coin d'aisance et tapait du pied pour appeler la belle qui logeait à l'étage inférieur. ces épisodes se renouvellèrent sans que la morale me permette de décrire ces scènes. ce qui est sûr c'est qu'en public, leur relation passait inaperçue et elle jouait très bien l'indifférence, alors que lui ne pouvait s'empêcher de rougir... son visage devenait celui d'un homme qui porte un lourd secret.

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Foldelol a dit…

Chapitre septième

Notre fidèle compagnon est maintenant un étudiant modèle parmi les autres 2itéens et à ce titre il fut promu "chef de projet". Cette promotion devait l'amener à guider ses camarades, ou plutôt ses galèredeuxitiens, embarquer sur un navire de fortune voguant sur les eaux de la gartempe et tentant d'affronter tant bien que mal les assauts des vagues josettiennes!

Loin de sa promise, restée à bon port s'occuper d'un océan de paperasse, il affronte la dure réalité du monde du travail : pas de pitié!

Il peut toutefois compter sur ses camarades pour lui remonter le moral, même si les occasions de traitrise sont tentantes pour un certain judas qui n'a pas encore montré tout l'étendue de sa perversité.

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Marie-Aude a dit…

Il commence à être fatigué le 2itéen. Deux mois qu'il a repris et toujours pas de vacances à l'horizon, il ne comprends pas vraiment, il n'a jamais vu ça! Chez lui, au moins, on savait se préserver et prendre quelques jours de congé. Mais il découvrit qu'il n'en était pas du tout comme cela dans cette contrée poitevine.
Il prenait donc son mal en patiente, attendant avec hâte les fêtes de la nativité.
Pendant ce temps, ses cours continuaient de se dérouler dans un calme relatif, il commençait à se rendre compte qu'un complot était peut-être en train de se former autours de lui. Ses plus proches coéquipiers se moquaient de lui de temps en temps, il n'aimait pas vraiment ça mais il se disait que ça leur passerait, comme passent les vaches... Mais non, il en fût bientôt sûr, ses camarades se liguaient et il se sentait de plus en plus affaiblit par toutes ces remarques. Heureusement, Boucles d'Or était là pour lui remonter le moral. Quand il voulait lui parler, il effectuait ce petit pas cadencé décrit plus haut (1,2,3,4,5,6...porte...,1,2,3); cela lui permettait de livrer tous ses soucis à celle qui était la vice-reine de son coeur (G. avait beau être loin, il pensait toujours à elle), et ça lui faisait du bien!
Il décida qu'il défendrait jalousement cette précieuse et tendre épaule sur laquelle il aimait à se reposer, les jours de grande chaleur.
Mais, tous les jours, il fallait faire comme si de rien n'était, continuer à rougir devant les autres et faire comme si il s'en fichait pas mal de cette Dame. Mais au fond, tous ses camarades n'étaient pas dupes, ils connaissaient les penchants de Gw. et se moquaient de lui à ce sujet. Il était cerné.
Qu'allait-il faire, quelle ruse allait-il employer pour tromper ses camarades? Vous le saurez au prochain épisode de GW. :le 2itéen de l'extrême.

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guillaume a dit…

Le 2itéen de l'extrême

C'est en me promenant hier soir sur les bords de la Charente que j'ai compris quelque chose d'essentiel dans la vie de GW. Il y a une ressemblance frappante entre lui et les rongeurs chers à son coeur. En effet, j'ai passé 30 minutes à observer des specimens de miocastors. Voilà mes observations. Tout d'abord le miocastor passe un temps incroyable à trouver sa nourriture et c'est un moment indispensable pour lui où il semble prendre du plaisir (premier point commun). Ensuite, il adore nager! L'eau est tout simplempent son élément favori, et non seulement GW. adore nager, mais en plus il retourne en Bretagne, région qui est on ne peut plus humide!
Enfin, et c'est là que je me suis régalé à observer ce mâle ragondin, j'ai pu assister à un phénomène que l'ensemble des 2itéens reconnaîtra. J'ai vu mon miocastor se diriger à un endroit précis de la rivière et effectuer plusieurs cercles dans l'eau sans raison particulière. Je me suis dit qu'il devait avoir un pet au casque pour agir ainsi (encore un point commun!). Mais non! Pas du tout! J'ai vu apparaître une femelle ragondin! C'était un petit code qui lui disait qu'elle pouvait venir puisqu'aucun autre mâle n'était présent! (cela ne vous rappelle-t-il pas 1,2,3,4,5,6...porte...1,2,3)? J'ai ensuite pu voir les deux rongeurs passer du temps dans l'eau, nageant l'un contre l'autre et grignottant quelques herbes. Voilà la limite de cette analogie: Personne n'a vu notre GW. si proche de la vice-reine de son coeur!
Voici donc pourquoi il défensait si ardemment les ragondins: il a parfaitement adapté son mode de vie sur celui de ses protégés! (et je ne parle pas de leurs terriers)
La suite au dixième épisode
^.^

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master2it a dit…

Bonjour les affreux, vous ne savez pas qui je suis et je ne vous le dirai pas, ahahaha!!! Votre histoire me parait un peu capillo-tracté!! je m'en vais vous conter une, vraie celle-ci! Alors lisez!: c'est l'histoire d'un jeune homme qui avait décidé de quitter sa terre natale pour aller découvrir le monde. Malheureusement pour lui il s'arrêta dans une région bien sombre où les habitants avaient la facheuse habitude de se moquer des gens (vous voyez de qui je parle, non?). Un jour, pris d'une folle envie de se perdre dans cette verdure, il alla user ses chaussures sur des chemins boueux de cette région reculée. Trempé, il préféra stopper sa petite escapade et rentrer au chaud. Soudain il croisa un paysan qui lui proposa de se réchauffer auprès sa cheminée. Le jeune homme, affamé de surcroit, se vit offrir une soi-disante spécialité du pays. Il cru que c'était du concentré de cadavre tellement ça sentait mauvais et non!! C'était du fromage de chèvre!! "Plus puant tu meurs" se disait-il au fond de lui-même. Par politesse il mangea ce crotin comme il l'appelle si bien dans ce pays de bouffeur de fromage de chèvre. Soudain, il compris ce qui se passait!! Les gens de ce petit pays étaient étranges et refoulaient du goulot!! Mais bien sûr! Ce fameux fromage hallucinogène rend fou à tel point que les gens qui en mangent ont des visions curieuses: ils voient des ragondins partout! Il prit la fuite et revint dans sa chère contrée et quand il raconte son expérience, personne ne le croit tellement c'est effrayant! Ainsi se termine cette terrible histoire. Et retenez cette leçon : avant de voir des ragondins partout, assurez vous de n'avoir pas mangé de fromage de chèvre!
A la revoyure chers et chères camarades!

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Foldelol a dit…

Dixième épisode :

Fin du premier semestre pour la formation 2it, salle C214, fac de Lettres. La grande section travaille très durement sur le projet "Vers Saint savin" pendant que la petite section se questionne sur la place de l'étudiant en milieu lettré quand celui-ci trouve 1 heure de cours par semaine à ce mettre sous la dent...

Bref une partie de l'année s'achève avec en vue les premières vacances pour enfin respirer. Notre fidèle compagnon allait enfin pouvoir se reposer et oublier un univers hostile aux bretons (enfin ceux qui ne savent pas vraiment faire des crêpes...!). Déjà notre héros commençait à s'énerver et n'hésitait même plus a agresser les honorables et gentils cuistots du RU quand venait son tour. "Pas de fromage, hein!!!" sur le ton du ras le bol! Il était temps pour lui de retrouver sa terre natale et ses proches. Ces amis 2itéens lui apportaient une nouvelle expérience en matière d'amitié mais il souffrait physiquement : depuis combien de temps son crâne n'avait-il pas été battu par les vents d'Armorique? Le crachin purificateur pourrait-il laver toutes ces déceptions 2itéennes et le relançer dans l'aventure...

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Marie-Aude a dit…

Marin, tu chériras toujours la mer...
"Ah, le vent de l'Ouest! Quel bonheur de l'avoir enfin senti dans mes cheveux!" disait notre héros (qui refusait de plein fouet la calvitie) au retour de ces vacances de la nativité. Il en avait pris les poumons et pouvait alors reprendre ses activités 2itéennes à fond. Il avait passé un début de vacances assez mouvementé à cause du rendez-vous téléphonique qui avait été pris avec cette chère Chausette Jassin, mais bon, de nouveaux horizons venaient à lui. Il en attendait beaucoup de cette formation, il espérait ne pas être déçu par cette seconde partie de l'année. Il n'allait pas l'être, croyez-moi!
Alors les activités du master 2it avaient repris avec plus de lenteur qu'à l'habitude. Les camarades restaient à un rythme de vacances, comme si ce 1er semestre les avaient épuisés jusqu'à la moelle. Pourtant, la grande maîtresse Ô combien vénérée Terrinator faisait tomber toutes ses foudres sur eux, elle essayait en vain de les réveiller de leur atonie qui semblait prendre exemple sur un certain Titi.
Notre héros au grand coeur faisait lui aussi son possible pour oublier l'odeur perceptbile dans ses narines du granit mouillé par la pluie mais c'était très dur. Il ne pouvait pas s'empêcher d epenser qu'il aurait été plus heureux auprès de sa douce, que la vie aurait été plus facile. Il fallait pourtant tenir encore le coup. Il pris alors tout son courage dans toutes ses mains et se remit à la besogne. L'abbaye se portait de plus en plus mal, Frère Spontus commençait à perdre la foi. Il fallait prendre une solution au plus vite.
Ses amours étaient elles aussi au beau fixe avec Dame Blondie. Ils avaient désormais pris pour habitude leurs réunions quotidiennes martelées du fameux pas 1,2,3,4,5,6...porte 1,2,3 qu'ils pouvaitn reconnaître entre mille. Notre héros affectionnait tout particulièrement quand Dame Blondie le prenait tendrement en son giron, il s'y sentait bien, comme dans une chapelle rayonnante de lumière, où les oiseaux chantaient une douce mélodie harmonieuse, les esprits supérieurs se réunissant dans une fusion éclante. C'était l'amour divin. Mais ces moments de joie intence étaient bien souvent interrompus par la raison qui les ramenaient sur terre et les reconduisait chacun à son affaire.
Seule ombre au tableau : les ondulés caprins, Spontus ne pouvait plus les supporter, il aurait voulu les donner en pâture à ses ragondins royaux qui gardaient l'entrée de son domaine granitique. Il détestait encore plus quand ses camarades l'appelaient bêêêêêê^tement Gwêêêêê, il trouve tout cela bien ridicule mais il laissait dire, ça leur passerait.
La suite nous le confirmera-t-elle?

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Foldelol a dit…

Douxième épisode

Notre héros est désormais continuellement sous les nerfs, subissant le stress poitevin et estudiantin à longueur de temps. Il a le sang chaud contrairement aux bas clichés que l'on présente lors d'une breizhconf ou d'une bretodiscussio. Il nous fait mentir notre "super"héros. Tout d'abord d'une apparence calme mais déterminé, d'une élégance rare paré d'une veste de bure, d'un style éclatant et moderne à la chevelure (?) unique et reconnaissable entre mille...bref un modèle de chef armoricain charismatique voulant éclater de toute sa classe sa culture, et la sienne pas celle des gueux de la Bretagne sud!
Quand est-il aujourd'hui? Que reste-t-il de notre défenseur de lélégance, du glamour, de la culture... en un mot de la beauté suprême!? Plus grand chose hélas. Il est temps pour lui d'abandonner MH et sa schizophrénie. Il lui faut arrêter ce régime de barbare fait de viandes et de charcuterie en tout genre accompagner de fromages infames indignes de faire partie de la famille des produits laitiers. Il en peut plus d'être constament doubler auprès de Dame Blondie par ce Judas de L..., il lui casserai volontiers la gueule si son élégance et son respect envers sa douce ne le protégeait pas de la beauferie. (pause)

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Marie-Aude a dit…

Previously on Desperate Gwen :
Notre héros était en train de craquer de la bure. Trop de terrines, de biquettes, de Lol-Judas... Bref, cette fin d'année s'annonçait compliquée et bataillante.
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Depuis qu'il avait appris les déboires de Dame Blondie et de Lol-Judas, G. était sous le choc. Comment avait-il pu permettre une telle traîtrise, une telle félonie?
Cela le laissait bouche bée, il ne pouvait se résigner à renoncer à cet amour qui l'avait tant porté tout au long de cette dure année terrinaire. Il fallait y remédier : 1,2,3,4,5,6,porte...1,2,3 : il parla longuement avec Dame Blondie. Elle lui confia qu'elle le portait toujours dans son coeur mais que son corps, lui, était happé par cet être étrange à la figure singulière venue de la même contrée qu'elle. C'était son destin, l'étrangéité géographique lui était totalement interdite par son père le Seigneur du royaume de Gâtines. Elle était sincèrement désolée et son coeur n'en finissait plus de se pourfendre mais elle n'avait plus le choix, elle devait céder aux règles.
Lol-Judas profita donc de cette loi impitoyable pour entraîner Blondie dans des profondeurs insondables... (la décence nous empêchera de fournir moults détails, nous dirons que les oiseaux chantaient, que la campagne s'épanouissait, bref, le sursaut naturel bien connu de tous).
Pendant ce temps, à Descartes-land, notre héros s'appitoyait, pensant ne plus jamais retrouver la joie bien connue de l'amant éprouvé par sa dame. Il se consolait en pensait à Douce, qui l'attendait, en Terres Armoriques, patiemment.
Les compagnons d'infortune de G. se complaisaient toujours dans leurs félonies, même le tavernier pizzaïolo s'y mettait, il en arrivait à laisser des morceaux de cet infâme fromagêêêêêê dans le repas de G.. C'était le comble! Ou alors, il faisait semblant de perdre sa pizza, il fallait alors tout reprendre à zéro... Que d'embarras pour notre héros qui voulait juste déjeuner en paix!
Un épisode marquant de cette terrinnannée avait été le face-à-face psycho-schyzo-terrinaire avec M-H dans son carosse. Il ne s'en ai jamais vraiment remis je crois. Il avait vu pour la première fois le fond profond, très profond; il en avait été marqué à vie.
Que de souffrance en bref pour notre héros qui se rassurait en pensant que c'était bientôt la fin, plus que quelques épisodes et il pourrait prendre le chemin du retour et de la félicité!

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Foldelol a dit…

Le Printemps, du point de vue astronomique, commence à l'instant où le Soleil franchit le point d'intersection de l'écliptique et de l'équateur en se dirigeant de l'hémisphère sud vers l'hémisphère nord. Il s'achève à l'instant où le Soleil atteint sa déclinaison maximale. Sa durée est de 92,81 jours!
Notre héros découvre le Printemps poitevin. Quel étrange pays où il fait beau l'hiver (mais on s'les gèle quand même!) et déguelasse à la saison du renouviau! Du coup il est content, certes c'est relatif, mais cette joie est salvatrice et lui permet de retrouver son soufle.
Il a décidé de se concentrer sur le travail, désormais il va à ces foutus cours (des quoi?) il bouffe ces mets indélicats (berk, allez encore une bouchée.) et basta, on rentre à la maison et au fait le stage. Il va donc en C214 et se dit qu'il n'est pas le seul à souffrir et qu'il peut se réconforter auprès de ces amis (même si ceux-ci sont un peu con avec lui). Et puis là il apprend de nouvelles choses (sans parler des nouveaux jeux flashs) dans des cours passionnant (sisi il fallait rester jusqu'à la fin) avec plein de techniques te pis tout quoi. Ah sisi vraiment y'a de quoi d'être fier d'être un 2itéen, il a le torse qui bombe notre héros (la pizza aide un peu) et il respire enfin. Ah que ça fait du bien de respirer un bon coup, de ce dire que tout ceci n'est pas si grave au fond et puis il y a Dame Blondie qu'il l'aide un peu pour retrouver le moral.
Et puis, phénomène non négligeable, il sympathise avec ses anciens ennemis. Il se dit que lui l'apôtre de la non violence, le mahatma de la sérénité, l'Océan de sagesse, le gourou du respect se doit de montrer l'exemple et redonner à la Bretagne sa haute place dans une politique interpaysanne moribonde où les hommes préfèrent s'enrichir de gloire malhonnêtes. Mais lui, non, il est de ces hommes qui ont la tête haute et sans faillir.
Et voilà le Printemps de GW était lancé allait-il duré? Ces ennemis aujourd'hui amis allait-il de nouveau l'embêter. Ce bonheur retrouvé allait-il se désenchanté?...

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